L’horlogerie contemporaine ne cesse de repousser les frontières du design, mais rares sont les montres qui osent aller aussi loin que la SevenFriday x Rocketbyz 3.0. Avec cette édition limitée, SevenFriday s’associe une nouvelle fois à l’artiste Tomyboy, maître du néon et du street art, pour créer une pièce où le temps se lit à travers un prisme éclatant de couleurs et de lumière.
Ce modèle, pensé comme une œuvre d’art portable, s’inscrit dans la lignée des collaborations précédentes entre la marque et l’artiste, mais avec une approche encore plus radicale. Conçue pour capturer l’essence de l’énergie urbaine, la Rocketbyz 3.0 joue sur les contrastes de textures, les effets de lumière et une architecture hors normes, faisant de cette montre un objet aussi fascinant que provocant.
Un design sculptural et luminescent
Chaque détail de cette montre a été pensé pour surprendre. Son boîtier imposant de 54 mm, en acier inoxydable revêtu de PVD gris ou noir, est enveloppé d’une protection imprimée en 3D qui évoque une armature futuriste. Cet habillage n’est pas qu’un simple élément esthétique : il structure la silhouette de la montre et lui donne une présence unique au poignet.
L’une des caractéristiques les plus saisissantes de la Rocketbyz 3.0 est son jeu avec la lumière. Certaines parties du boîtier, dont le logo « R » de Rocketbyz et l’inscription WTF, sont luminescentes et réagissent aux UV, créant une véritable interaction avec l’environnement. De jour comme de nuit, la montre change d’apparence, passant d’un design audacieux à un spectacle lumineux captivant.
Un affichage dynamique et coloré
Le cadran ne fait pas exception à cette approche exubérante. Contrairement aux montres classiques, la Rocketbyz 3.0 ne possède ni aiguilles traditionnelles, ni index visibles. L’heure est affichée via des disques bombés rotatifs, aux teintes néon bleu et rose, renforçant l’esthétique vibrante du modèle.
Les couleurs éclatantes de ces disques sont rehaussées par une luminescence appliquée à la main, garantissant une lisibilité parfaite même en faible luminosité. L’ensemble du cadran donne l’impression d’un mouvement perpétuel, renforçant l’aspect dynamique et vivant de cette montre hors du commun.
Un mouvement automatique suisse pour une précision irréprochable
Au-delà de son esthétique avant-gardiste, la SevenFriday Rocketbyz 3.0 reste une montre conçue avec rigueur. Elle est équipée du mouvement automatique suisse Sellita SW300-1, un calibre reconnu pour sa fiabilité et sa précision.
Doté d’une réserve de marche de 42 heures, ce mouvement assure une fluidité d’affichage et une autonomie idéale pour un usage quotidien. Le fond de boîte dévoile un rotor décoré, preuve que, même dans une pièce aussi artistique, l’excellence mécanique reste une priorité.
Une exclusivité rare et recherchée
Produite en seulement 75 exemplaires, répartis en trois coloris distincts (25 unités par modèle), la SevenFriday Rocketbyz 3.0 est une pièce ultra-collectible. Son prix, fixé à 6 910 €, reflète à la fois son exclusivité et son statut d’objet d’art à part entière.
Voir cette publication sur Instagram
Voici un aperçu détaillé de ses caractéristiques :
| Caractéristique | Détails |
|---|---|
| Boîtier | Acier inoxydable PVD gris ou noir, protection imprimée en 3D |
| Dimensions | 54 mm de diamètre |
| Verre | Minéral durci |
| Cadran | Affichage sur disques bombés, luminescence appliquée à la main |
| Bracelet | Silicone noir texturé |
| Mouvement | Sellita SW300-1, automatique |
| Réserve de marche | 42 heures |
| Étanchéité | Non étanche |
| Disponibilité | Édition limitée à 75 exemplaires |
| Prix | 6 910 € |
Une montre à l’avant-garde du design horloger
Avec la SevenFriday Rocketbyz 3.0, l’horlogerie franchit un nouveau cap, fusionnant art contemporain et mécanique suisse dans une pièce hors normes. Ce modèle ne se contente pas d’indiquer l’heure : il interpelle, il fascine, il impose une présence inédite au poignet.
Réservée aux collectionneurs avertis et aux amateurs de montres au caractère affirmé, cette création bouscule les conventions et prouve une fois de plus que le temps est aussi une question d’émotion et d’expression artistique.
